Amboise Petitjean, auteur de romans de gare qui lui assurent un copieux train de vie, se remet radicalement en question après une rencontre éclair avec un Nobel de littérature et se lance dans l’écriture d’Ad vitam, dont treize lignes lui valent d’être mis à l’index et de faire l’objet d’une fatwa catholique, laquelle le conduit à une mémorable conférence au cœur des monts d’Arrée. C’est le texte de cette contre-attaque qu’Actes Sud-Papiers publie ici.
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