Ce qui peut se passer dans une chambre d’hôtel meublé une nuit de mardi gras, non, cela dépasse tout ce que l’imagination peut inventer d’horrible ! C’était il y a deux ans, au plus fort de mes troubles nerveux. J’étais guéri de l’éther, mais non des phénomènes morbides qu’il engendre : troubles de l’ouïe, troubles de la vue, angoisses nocturnes et cauchemars : le solfanol et le bromure avaient déjà eu raison de pas mal de ces troubles.
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