Dès l’abord, c’était la tour Saint-Benoît ; par la suite, ce fut la tour du Diable. Le moyen dont se servit l’esprit malin pour la débaptiser ainsi ne laisse pas que d’être merveilleux. Pour peu que vous désiriez connaître les détails d’un fait aussi surnaturel, écoutez la légende dont voici la teneur. Un moine de l’abbaye Saint-Jehan-des-Vignes, de Soissons, bon vivant comme tous avaient la renommée, était descendu en ville...