Quand j’ai acheté le livre de Christof Koch, A la recherche de la conscience, j’avais déjà rédigé la première version de mon ouvrage, Une histoire de conscientisation (Publibook, 2013), qui a traduit le niveau de mes connaissances théoriques et pratiques générales non spécialisées en neurosciences. J’étais saisi par la clarté du langage philosophique et son approche globalisante des phénomènes d’une science très spécialisée. C’est l’avant-propos de F. Crick, la préface, et l’introduction de C. Koch qui m’ont poussé à mieux comprendre le rôle de l’inconscient et de la conscience dans la génération de nos pensées, plus exactement, dans le mécanisme de la pensée et dans leurs expressions biochimiques de nos comportements quotidiens.