Faustine est retournée chez papa-maman à son corps défendant. Elle a laissé son premier grand amour à Bâle et se languit de lui. A l'atelier, l'ambiance est mitigée, Faustine se sent piégée mais fait contre mauvaise fortune bon cœur. D'autant que maman aime rire et qu'on ne s'ennuie pas avec elle. Sitôt qu'elle a appris à conduire, Faustine s'évade le plus souvent possible. La Côte d'Azur des années 75-80 n'est plus celle des années 30, mais il s'y joue encore du bon jazz... Est-ce que par hasard on y rencontrerait aussi l'amour ?