« De ma mémoire encore sensible
À l’humidité de l’enfance
Jaillit la sève lourde et libre
Du merveilleux originel. »
Ces textes sont les cris de sa mémoire jetés au vent du monde. Je ressens le douloureux appel d’une écorchée vive qui a peur de sa fragilité, qui saigne de ses blessures.
Ce recueil m’a bouleversé.
Bernard Lenoble, Radio Calade Gleize
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