Simple d’esprit, elle donne son corps pour entendre les petites musiques du cœur, jusqu’à l’heure de sa revanche.
« Bâtarde ! C'est vrai qu'à la maison non plus elle n'avait pas de prénom. Le père l'appelait la bâtarde, la mère ne l'appelait pas. Bâtarde et attardée, « abâttardée »... Drôle de pedigree pour une drôle d'existence pas franchement plaisante. Heureusement que la Jeannette lui avait appris à voir la vie en Technicolor avec les petites musiques... »
Claire Rivieccio nous livre une novella d’une grande intensité due à la vérité de son personnage principal si bouleversant. Ecoutons la petite musique de cette auteure, elle recèle une mélodie narrative brillante.
Fin 2007, pas rancunière, elle revient vivre dans le département de l’Indre où elle écrit un second polar "Sainte-Erecta".Aux dernières nouvelles, son imagination la mène toujours par le bout du nez et elle continue à écrire… |